Citations de Rabbi Nahman de Breslev

Avertissement :
Les enseignements de Rabbi Na’hman de Breslev peuvent extrêmement dangereux. Rabbi Na’hman se prenait en effet pour un élu parmi les élus et ce narcissisme a donné naissance à un culte idolâtre qui éloigne le Juif de ses véritables racines. Par le raffinement de la ‘Hassidout, c’est-à-dire en l’étudiant sous l’angle de la Nouvelle Torah, nous pouvons transformer cette obscurité en Lumière.

La volonté de Dieu se trouve en chaque chose.

Lorsqu’il n’y a plus de sincérité dans le monde, quiconque veut se détourner du mal n’a pas d’autre choix que de jouer au fou.

Dieu aime celui qui se garde de la colère et qui est conciliant.

Celui qui rend le bien pour le mal vit longtemps.

Le monde n’existe que par le mérite de celui qui se fait comme s’il n’existait pas.

La charité amène la paix dans toute sa splendeur.

Celui qui a confiance en Dieu n’a peur de rien.

Donne la charité et tu prospéreras.

C’est la joie de l’esprit qui engendre dans les mondes supérieurs les grandes unifications.

Recevoir des invités, c’est comme recevoir le Shabbat.

Avant que Dieu n’accomplisse un miracle pour une personne, elle doit passer par des moments difficiles qui sont en rapport avec la grandeur du miracle.

Celui qui envie la prospérité d’autrui devient fou.

La foi permet à une personne de dominer des gens hautains.

C’est une grande mitzva que d’être toujours joyeux.

À quoi sert la vie si on n’y considère pas le but de toute chose ?

La présence de Dieu se trouve dans tous les aspects matériels et dans toutes les langues des nations du monde.

L’humilité annule les jugements rigoureux.

Le fait de confesser ses pêchés amène la réussite.

Celui qui ne se considère pas intelligent peut arriver à acquérir la crainte de Dieu.

Le lachon hara’, la médisance, donne des forces à la faculté de fabulation et au pouvoir d’illusion, et altère la mémoire qui est la faculté de se rappeler sans cesse que ce monde n’a de sens que par rapport au Monde Futur.

Honore ta femme et tu deviendras riche.

La réalité est que le monde et tout ce qu’il contient est une réalité facultative.

L’essence du repentir consiste à être insulté et à rester calme et silencieux.

Une personne ne doit pas se mettre sous pression, peu importe la raison.

Lorsqu’une personne sait que tout ce qui lui arrive est pour son bien, elle obtient un aperçu du Monde futur.

Pendant qu’une personne dort, son âme monte vers le Monde à venir.

Evite de t’associer avec les gens qui sont connus pour raconter des mensonges et tu mériteras de détecter les hypocrites et les trompeurs.

Celui qui fait attention à toujours dire la vérité, est considéré comme s’il avait créé le ciel et la Terre, les mers et tout ce qu’ils contiennent.

Une personne ne doit pas se sentir vexée par les atteintes faites à son honneur.

L’âme de chaque personne voit et sent constamment des choses extrêmement élevées que le corps méconnaît.

Il n’est rien de plus difficile que de connaître la vraie joie. C’est la tâche spirituelle la plus difficile à accomplir. On doit à tout moment se contraindre à être joyeux. Il faut y consacrer toute son énergie, utiliser toutes sortes de stratagèmes. Parfois la seule facon d’y parvenir est de recourir à un procédé futile et enfantin.

Il est impossible d’être sauvé des forces du mal sans être audacieux.

Plus une personne est éloignée de la vérité, plus elle considère celui qui s’écarte du mauvais chemin comme un fou.

Chaque personne doit se dire : « parce que le monde a été créé pour moi, je dois essayer d’en faire un monde meilleur ».

La parole est le réceptacle qui nous permet de recevoir le flot de bénédictions. La bénédiction dépend des mots que l’on prononce. Celui qui a accédé à la perfection dans sa façon de parler, peut recevoir d’abondantes bénédictions grâce aux réceptacles formés par ses paroles.

L’amour renforce.

Si tu ne te mets pas en colère, tu pourras abaisser un orgueilleux d’un simple regard.

La joie amène la paix dans le monde.

Celui qui oublie le pauvre ne peut vaincre.

Le vin et les bonnes odeurs aiguisent l’esprit.

Un homme doit se faire des remontrances chaque matin.

Tant qu’il y aura l’idolâtrie de l’argent dans le monde, il y aura également la colère divine.

Chaque pensée, chaque parole, chaque acte envoyé par Dieu tous les jours doivent contribuer à élargir la connaissance et la perception de Dieu. L’Homme doit comprendre que toute chose constitue une allusion envoyée par Dieu pour le rapprocher de Lui. Dieu Lui-même est infini, mais Il se « contracte » pour ainsi dire, à notre niveau, et les expériences quotidiennes qu’Il nous fait vivre nous servent de signaux et de guides. À nous d’identifier et de déchiffrer les messages contenus dans les pensées, les paroles, et les actes que nous envoie l’Éternel, en vue de les approfondir et de nous rapprocher de Lui. Nous devons cependant comprendre qu’on ne peut élargir et approfondir sa perception de Dieu que de façon modérée et méthodique.

Toute personne qui pleure la nuit, sa voix est entendue ; les étoiles et les constellations pleurent avec lui.

Il est préférable d’être jeté dans une fournaise brûlante, plutôt que de faire honte publiquement à autrui.

Donne la charité : aussi longtemps que tu trouves des gens dans le besoin, aussi longtemps que tu as de quoi donner, aussi longtemps que tu en as la possibilité.

Dieu est présent là où un pacte, un accord ou une alliance sont conclus.

Toute trace d’égoïsme et de matérialisme sera effacée quand tu prieras et tu seras capable de débarrasser ta prière de toute pensée inhérente au profit personnel, comme si tu n’existais pas dans ce monde. Quand tu accéderas à ce point d’idéalisme total, tu découvriras les secrets cachés de la Torah.

Toutes les fautes d’une personne sont pardonnées quand elle dirige ses affaires honnêtement.

La prière de celui qui se domine et passe sur un affront est écoutée.

Le fait d’être toujours joyeux est propice pour la réussite.

Celui qui tient sa parole peut accomplir de grandes choses.

En donnant la charité, une personne peut défaire ses ennemis avec peu d’efforts. Dieu le sauvera, même contre leurs plus grandes attaques.

Dieu agrée les prières de celui qui est humble, même s’il prie seulement par la pensée.

Celui qui ne calomnie pas vaincra et réussira.

Là où on est pointilleux et sévère, la paix n’existe pas.

Celui qui a l’habitude d’apporter de bonnes nouvelles, « s’habille » de l’aspect du prophète Elie.

La crainte de Dieu augmente le mazal (la chance) et réciproquement.

Celui qui essuie une insulte et se tait, est appelé « juste » et le Saint béni soit-Il protège son âme.

Par l’esprit d’unité qui existera parmi le Peuple Juif, le Messie viendra.

La prière de celui qui vole ou qui fait honte à autrui ne sera pas entendue.

L’homme qui ne se plaint pas des autres, gagne du respect.

Dieu protège celui qui se réjouit quand il accomplit une mitsva.

Le jour où tu te fais petit est un jour qui ajoute de la force, de la puissance, de l’exaltation et de l’élévation à la Sainteté d’En Haut.

Il existe des gens qui paraissent religieux et dissimulent leurs sarcasmes sous des paroles de vérité. On ne prend pas la précaution de les éviter pensant qu’ils sont sur le droit chemin. Ils sont ceux qui peuvent causer le plus de mal à celui qui veut servir Dieu avec sincérité.

Celui qui se garde de transgresser l’interdiction de convoiter ce qui ne lui appartient pas, sera sauvé de la colère, de l’orgueil et de ce qu’ils engendrent : le manque de foi.

Celui qui se garde de la flatterie, trouvera le salut.

En donnant la charité, on est épargné du vol, de l’oppression et des malheurs.

Le silence adoucit la rigueur divine.

Si nous louons Dieu et reconnaissons Sa gloire, nous avons des chances de rencontrer le vrai conjoint. L’étude des codes de la loi peut aussi agir en ce sens.

Il est permis aux Tsadikim de se comporter avec ruses vis-à-vis des trompeurs.

Le monde est rempli de polémiques. Les puissances du monde se font la guerre. Il existe des conflits dans chaque ville. Il existe des dissensions parmi des familles. Il existe des discordes entre voisins. Il existe des frictions au sein d’un ménage, entre le mari et la femme, entre les parents et les enfants, les parents et les domestiques, etc. Nul ne pense au but final de la vie. Des gens meurent chaque jour. Le jour qui passe ne revient jamais, et chaque jour nous rapproche de la mort ! Comment peut-on gaspiller son temps en polémiques ? Quiconque est doué d’un minimum d’intelligence doit comprendre cela et penser à prolonger ses jours. Qu’il ne gaspille pas son temps en querelles, importantes ou secondaires. Il doit se maîtriser, retenir sa colère et vivre en paix avec tout le monde.

Il existe plusieurs sortes de peurs. La crainte de l’autorité terrestre peut être qualifiée de « déchue ». La vraie crainte du Ciel, qui est liée à la connaissance de Dieu, nous élève au-dessus de l’influence de cette « peur déchue ».

L’hospitalité fait mériter à une personne d’être crainte par les autres.

Un homme doit dépenser moins de ce qu’il peut se permettre pour la nourriture et la boisson, s’habiller selon ses moyens et honorer sa femme et ses enfants au-dessus de ses moyens.

L’homme doit faire abstraction de son amour-propre pour combler d’honneur le Créateur. Il doit fuir les honneurs et ne pas chercher à gagner l’admiration des autres. C’est ainsi qu’il aura le mérite de recevoir l’honneur de Dieu Lui-même, sans que personne ne se pose de questions sur le respect qu’on lui accorde. Mais celui qui recherche le respect et l’admiration d’autrui ne méritera jamais l’honneur de Dieu. Même s’il jouit du respect des autres, son mérite est sans cesse remis en question.

L’humble n’a jamais peur, même s’il se trouve au milieu d’une ville assiégée.

La mélancolie est une forme d’idolâtrie.

Depuis le moment où l’on pense se repentir, la prière est acceptée même si l’on n’est pas revenu encore vers Dieu.

La pudeur est une ségoulah pour devenir prospère.

Celui qui lutte contre la colère et la brise, attire dans le monde l’esprit du Machia’h. C’est comme si le monde et tout ce qu’il contient avaient été créés pour lui. Il méritera des bénédictions sans fin et accédera au niveau de la prière authentique, s’adressant directement à Dieu, sans chercher de motivations étrangères, pour gagner le respect ou l’admiration des gens, etc. Il réussira à accomplir toutes les Mitsvot et tous les actes saints qui lui sont confiés.

En donnant de bons conseils, tu mériteras d’être joyeux.

Recevoir des invités, c’est comme recevoir le Shabbat.

Le moqueur perd son prestige. Il devient menteur et vagabonde d’un endroit à l’autre.

La flatterie entraîne la moquerie.

Maître de l’univers bon et bienfaisant pour tous, par Ta bonne volonté Tu as créé le monde tel que Ta pensée première l’a conçu. Ta bonne intention avait pour but notre bien afin que nous puissions atteindre le bien final, le but véritable, le bien parmi les biens. Et c’est pour cela que Tu as créé tous les mondes dans une sagesse merveilleuse, depuis le début du monde de l’Emanation jusqu’à la fin du monde de l’Action, pour que nous puissions à la fin de l’Action venir et nous inclure dans la Pensée Première, atteindre le but final, le bien éternel.

Le moqueur s’attire des souffrances. Il n’a pas d’intelligence. Il devient une abomination aux yeux de Dieu et des hommes.

Il existe une forme d’humilité qui est le sommet de l’orgueil : c’est celle de ceux qui savent que les gens déconsidèrent ceux qui se flattent et ne cherchent qu’à s’attirer leur respect et leur approbation. Leur humilité est factice car ce qu’ils recherchent ce sont les honneurs.

Une malédiction qui n’est pas méritée se retourne finalement contre celui qui la formule.

Celui qui sauve les pauvres reçoit le pouvoir d’abaisser les orgueilleux d’un simple regard.

Les Juifs ne sont pas assez prudents lorsqu’il s’agit d’éviter le sarcasme et la sophistication, en particulier lorsqu’ils émanent de gens apparemment religieux, ce qui les rend d’autant plus dangereux.

Quand une personne voit que ses revenus ou sa subsistance sont limités, il doit en donner à la charité.

Si tu ressens quelque orgueil, attends-toi à des ennuis.

Tout celui qui prélève convenablement le dixième de ses biens pour la charité, ne perd rien.

Celui qui est sage, humble et sociable, sa parole s’accomplit En Haut.

La notion de temps provient d’une connaissance déficiente. Plus la connaissance est développée, plus on comprend qu’en réalité le temps n’existe pas.

Dieu est l’essence de la Lumière. De la nature du récipient qui reçoit la Lumière, dépend la forme de celle-ci.

Il est bon de juger positivement même les mécréants.

La musique atténue les sentences rigoureuses. Lorsqu’on chante sa prière d’une voix très claire, on revêt la Shekhinah d’habits lumineux, et c’est ainsi que les sentences rigoureuses sont atténuées.

Parfois une personne émet un jugement, sans le savoir, sur elle-même. On lui demande alors de se prononcer sur une tierce personne pour déterminer le châtiment qu’elle mérite mais en vérité, c’est elle-même qu’elle est en train de juger.

Aussi longtemps qu’un homme se garde de se mettre en colère, ses ennemis n’auront pas de pouvoir contre lui. Il sera en toute sécurité dans sa maison, et personne ne pourra prendre sa place.

Si tu te trouves dans l’alternative d’accomplir l’une de deux Mitsvot, choisis celle qui implique le plus la maîtrise de ton mauvais penchant.

Tout le monde peut être effrayé. Mais celui qui craint Dieu, non seulement n’aura pas peur, mais trouvera une raison pour se réjouir de la situation.

La modestie d’une personne annule sa peur des ennemis.

Pour goûter la lumière cachée de la Torah – les secrets qui seront révélés dans les temps à venir – tu dois t’isoler autant que tu peux pour prier et parler à Dieu. Considère bien tes actes et fais le point. Que fais-tu de ta vie ? Comment passes-tu ton temps ?

Considère bien les différents aspects de ta vie. Si tu juges tous tes actes, tu pourras éliminer toutes tes craintes et tous tes soucis.

Les pensées de l’homme sont sous son contrôle exclusif et il peut les diriger là où il le désire. Elles peuvent se déchaîner et atteindre des régions qu’il doit fuir. L’homme est cependant en mesure de les prendre en main même contre leur gré, et de les diriger sur la bonne voie. La pensée ressemble à un cheval qui cherche à s’écarter du chemin qu’on veut lui faire emprunter. A l’aide des rênes, le cavalier le force à prendre la bonne direction. Dès que nous voyons nos pensées diverger, prenons-les en main et ramenons-les dans la bonne direction.

Les actes de charité et de bonté arrivent à éliminer les idées étrangères, et nous épargnent du joug des autorités. Nous pouvons ainsi accéder à la perception de la Divinité.

La croyance en Dieu doit être le résultat de la foi et non pas de miracles.

Le fait d’embrasser crée un lien qui dure même après la mort.

C’est précisément parce que nous ne comprenons pas le problème du libre arbitre que nous jouissons d’une liberté réelle.

Quatre choses annulent un mauvais décret sur une personne : la charité, crier à Dieu, changer son nom et améliorer sa conduite.

Accepter les souffrances avec amour équivaut à offrir un sacrifice.

La dispute engendre des pensées d’idolâtrie. Les querelles dans une maison la transforment en un lieu d’idolâtrie.

Quand un homme est affligé, il doit donner la charité. Ce geste est considéré comme le paiement des honoraires d’un juge qui, lorsqu’il est accepté, entraîne la nullité du verdict. Ses souffrances s’en trouveront alors allégées.

Si tu invoques l’amour de Dieu, Il recouvrira et cachera tes transgressions.

Aie confiance en Dieu et tes ennemis ne te porteront pas préjudice.

Exprimer sa joie en chantant rend intelligent.

Crie du fond de ton cœur et tu trouveras ton vrai guide spirituel. Les ténèbres se dissiperont et des conseils judicieux te seront révélés. Ta foi se raffermira et finira par être totale. La guérison viendra et le monde sera rempli de bonté et de rectification.

Le respect que l’on montre pour la Torah sauve des ennemis.

Même si tu crois t’être tellement éloigné de Dieu qu’il t’est impossible de te rapprocher de Lui, tu peux encore trouver la Divinité même là où tu as sombré.

L’un des principes de base du service divin est de ne penser qu’au jour que l’on vit, de ne prêter aucune attention ni à hier ni à demain.

Quand un malheur s’abat sur le monde, une personne doit penser que ses péchés en sont la cause.

Le désespoir est plus dangereux que tout. Il faut s’efforcer de suivre ce chemin : chercher toujours en soi-même des bons côtés, à chaque instant, pour se ranimer et se fortifier.

L’orgueil est un signe de destruction.

Chaque Mitsva qu’une personne accomplit dans ce monde, crée une lumière qui lui permettra d’explorer le Trésor du Roi après sa mort. C’est là l’ultime félicité du Monde à Venir.

Un seul point positif suffit pour sauver l’âme d’un homme.

Quand la renommée des Tsadikim (Justes) s’étend de par le monde, cela inspire la composition de nouvelles mélodies.

Si l’on se donne beaucoup de peine pour comprendre la Torah qu’on étudie, on guérit son âme et on l’élève à sa source, toutes les sentences rigoureuses sont atténuées et on voit grandir dans les mondes supérieurs un Arbre de Vie qui a le pouvoir de tout guérir. Tous ces efforts assureront la fermeté et le renouvellement de tous les univers, et la gloire de Dieu sera révélée dans le monde, ce qui est le but de l’oeuvre humaine.

Les passions et les désirs sont anéantis quand on montre de la compassion pour son prochain.

Dans toutes ses prières et conversations avec Dieu, l’Homme doit veiller à être absolument honnête et sincère jusqu’à ce qu’il soit couvert de honte tellement il a péché devant le Tout puissant, le Maître du monde, source de tout.

La mélodie et la musique te rendront joyeux et t’amèneront à la ferveur religieuse.

Le faible n’est que celui qui ignore sa force.

Dieu n’envoie à l’homme que des obstacles qu’il peut surmonter s’il fait vraiment preuve d’une obstination suffisante. S’il y réfléchit sérieusement, il comprendra que l’obstacle est un voile derrière lequel se cache Dieu. En réalité, il n’y a pas du tout d’obstacles : ce ne sont qu’illusion.

Ne pas accomplir un acte de générosité entraîne le retrait de la vraie connaissance.

Quand les produits de la terre poussent pleinement, l’amour réside dans le monde.

La paix vient grâce à la vérité.

La reconstruction de Jérusalem dépend de la paix.

L’homme vraiment humble se dépouille entièrement de son aspect physique et se fond dans l’Infini. Il prend alors conscience du fait que tout ce qui lui arrive n’est que pour son bien. Il savoure ainsi le goût de la vie du Monde Futur.

En se taisant, on acquiert la confiance en Dieu.

La paix consiste essentiellement à unir deux contraires. Ne soyons donc pas étonnés de rencontrer quelqu’un dont les points de vue sont diamétralement opposés aux nôtres. Ne nous imaginons pas qu’il soit impossible de vivre avec lui en toute amitié. De même si nous voyons deux personnes aux idées contraires, ne croyons pas qu’il soit impossible de faire régner la paix entre elles. Bien au contraire ! On n’accède vraiment à la paix que par les efforts qu’on entreprend pour réconcilier deux entités opposées, tout comme fit Dieu qui réconcilia le Feu et l’Eau dans les sphères célestes. On parvient à cela en étant prêt à se sacrifier pour la sanctification du Nom de Dieu. On peut alors prier avec ferveur.

Celui qui étudie sans réviser ressemble à celui qui sème sans moissonner.

Mieux vaut le simple qui croit à tout que le sophistiqué qui ne croit à rien. Car en croyant à tout, on en viendra éventuellement à croire aussi au vrai. Tandis que le sophistiqué, en niant tout, niera aussi la vérité !

Celui qui est joyeux peut réconforter quelqu’un d’autre et peut lui redonner la vie. Réconforter ses frères et les rendre joyeux est une grande mitsvah. Que de gens sont assaillis de toutes sortes de soucis de malheurs et souffrances, et sont incapables de trouver une oreille attentive à leurs problèmes ! Si on se présente devant eux le sourire aux lèvres et le visage radieux, on peut leur rendre la vie littéralement. Réjouir quelqu’un, c’est redonner réellement la vie à une âme.

C’est une grande Mitsva d’être toujours heureux. Prenons la ferme décision de fuir la mélancolie, et d’être constamment joyeux. La joie est le remède à toutes sortes de maladies – parce que la plupart d’entre elles sont causées par la mélancolie. Il faut parfois avoir recours à des bouffonneries pour connaître la joie.

Celui qui prie avec ferveur à tel point qu’elle se manifeste sur son visage, ses ennemis seront défaits et s’embraseront.

Pour l’homme au cœur vaillant, rien ne peut être considéré comme une barrière qui le sépare de Dieu. Il ne sert à rien de prétendre que les barrières sont si insurmontables qu’elles l’empêchent de servir Dieu. Pour celui qui a vraiment un cœur, tous les endroits sont les siens.

Celui qui se garde de transgresser l’interdiction de convoiter ce qui ne lui appartient pas, sera sauvé de la colère, de l’orgueil et de ce qu’ils engendrent : le manque de foi.

Celui qui veut s’éloigner du mal, doit faire le fou quand il voit qu’il n’y a pas de vérité dans le monde.

Heureux sont ceux qui peuvent prier en forêt : les herbes et les arbres, toutes les plantes élèvent un chant sublime vers leur Créateur. Lorsqu’on se met à prier parmi les plantes, leurs louanges se mêlent à la nôtre et l’élèvent vers le Ciel.

La Torah possède une saveur particulière. L’essentiel est de mériter d’y goûter. On y arrive en brisant complètement son orgueil, et en ramenant et élevant tout honneur à Dieu.

Ne permets pas à ton esprit de « lever » comme une pâte qui fermente. N’entretiens en aucun cas de mauvaises pensées, n’éprouve jamais de mauvais désirs. Ces pensées sont enracinées dans le côté du mal, celui de la mort. Si elles surgissent dans ton esprit, rejette-les impitoyablement, parce qu’elles finiront par le gâcher, et il te sera impossible de prier comme il convient ni d’éprouver la joie véritable. Efforce-toi d’éviter la moindre allusion à de telles pensées. Veille à t’en éloigner comme du ‘Hamets (de Pessa’h). Les mauvaises pensées sont le levain de la pâte, et la loi nous enjoint de le brûler et le détruire complètement, pour qu’on ne le voie ni ne le trouve. Purifie ton esprit et vide-le de telles pensées.

Faire preuve de sérénité et de patience, quoi que la vie puisse nous réserver, constitue le plus haut niveau du Daat, la connaissance de Dieu. On doit seulement avoir foi que tout n’a pour but que le bien ultime.

Tu peux acquérir la vertu de la pudeur en donnant la charité d’une façon désintéressée, uniquement parce que Dieu l’a ordonné.

La joie augmente la compréhension.

L’orgueil retarde la venue du Messie et enlève l’homme de ce monde.

Maître du monde, Tu sais combien il nous est difficile de briser et d’annuler le défaut de la colère et de la sévérité. Car lorsque la colère commence à brûler en nous, à Dieu ne plaise, on perd presque la raison. Il nous est alors difficile d’éteindre ce feu et de le maîtriser. Aussi aie pitié de nous pour Ton Nom. Viens à notre aide, garde-nous et sauve nous toujours dans Ta miséricorde et bonté infinies. Aide-nous à briser et annuler en nous et autour de nous, le défaut de la colère et de la sévérité. Que nous ne nous emportions jamais et que je n’agisse pas du tout avec sévérité. Que seulement je mérite d’être toujours bon avec tout le monde, dès maintenant et à jamais.

Si des souffrances s’abattent sur toi, scrute tes actes.

L’Éternel prend toujours en considération le bien accompli par tous. Même s’il s’y mêle quelque chose qui n’est pas totalement valable, Dieu n’y prête pas attention. Si Dieu agit de la sorte, à quel point nous devons, nous, nous efforcer de ne jamais considérer le mauvais côté des autres, ni leurs défauts, ni la faiblesse de leur dévotion.
Ne cherchons constamment en eux que le bien et le mérite. Nous vivrons ainsi en paix avec tout le monde.

Il existe des niveaux de plus en plus élevés de confiance en Dieu, qui vont jusqu’à l’infini. Plus la sagesse et la vraie connaissance de l’individu sont grandes, plus sa confiance en Dieu est profonde. Et plus il a confiance en Lui, plus il est généreux. La charité peut mener à la perfection de la faculté d’élocution, qui constitue l’essence de la supériorité de l’homme sur les animaux.

Celui qui essuie l’insulte en se taisant, Dieu annule nombre de malheurs qu’il devait endurer.

Un homme de vérité peut reconnaître si un autre ment.

Celui qui veut toujours être victorieux, ne tolère pas du tout la vérité. La vérité peut être pour lui évidente, mais comme il est décidé à vaincre à tout prix, il la repousse entièrement.
Si tu veux découvrir la vérité authentique, défais-toi de ce penchant à vaincre.

Celui qui cache ses actions charitables est plus grand que Moïse.

La vérité fait mériter la modestie.

Des gens meurent chaque jour. Le jour qui passe ne revient jamais, et chaque jour nous rapproche de la mort ! Comment peut-on gaspiller son temps en polémiques ?

L’œil peut voir seulement ce qu’on lui donne la possibilité de voir. Même si une chose est en face d’une personne, elle ne la verra que si d’En Haut, on lui en donne la possibilité.

La charité est tellement grande qu’elle hâte la rédemption finale, sauve le donateur de la mort et le rend apte à recevoir la Présence Divine.

Chacun doit s’efforcer de fusionner avec la source de son être ; cela requiert une abnégation totale que seule l’Hithbodédout permet d’atteindre. Quand on s’isole pour converser avec Dieu, on se détache de tout pour ne s’attacher qu’à Dieu. On fusionne ainsi avec sa source.

Celui qui place sa confiance dans les autres, sera amené à les flatter.

Celui qui se garde de la flatterie, trouvera le salut.

Être honnête dans le commerce annule les malédictions.

Chaque jour, il faut danser, fût-ce seulement par la pensée.

Il est permis de flatter le mécréant dans ce monde afin qu’il ne nous porte pas préjudice.

Celui qui extériorise sa jalousie, détruit sa maison.

La charité guérit toutes les maladies.

Les contes du monde entier contiennent beaucoup de mystères et de choses cachées.

Toutes les paroles que l’on dit pour amener autrui à craindre Dieu, sont transformées en un livre sacré.

La foi parfaite, c’est quand on croit en Dieu, sans aucune sophistication, sans prodiges ni miracles. C’est une foi dénuée de toute spéculation et philosophie.

La musique et la joie aident l’Homme à déverser comme de l’eau son cœur devant Dieu. Celui qui est toujours heureux peut facilement s’exprimer devant Dieu et méditer comme il convient.

Que nos oreilles écoutent les paroles des Sages et aient foi en leurs propos. Fermons les yeux et éloignons-les du mal. Nous accéderons ainsi à la connaissance parfaite dont tout dépend, et notre cœur brûlera de passion pour Dieu. Car c’est grâce à l’activité de l’esprit que la passion naît dans le cœur. Plus on pense à la Torah et on se dévoue pour elle, plus le cœur s’enflamme d’amour pour Dieu, plus notre connaissance est profonde, et plus notre cœur brûle de passion. Cette passion purifie le cœur et empêche les mauvais désirs de le polluer de leurs ardeurs. Quand le cœur est pur, on ne manque jamais de mots pour parler à Dieu. On trouvera toujours des mots nouveaux, de nouvelles approches et une inspiration divine.

Si on trouve que l’argent qu’on gagne ne suffit pas à couvrir ses besoins, la meilleure chose à faire, c’est de le donner en charité, car la Tsédakah (charité) est le Tikoun (réparation) des possessions matérielles et le moyen d’avoir beaucoup d’argent.

La bénédiction ne se trouve que sur une chose qui est cachée de l’œil public.

Tu dois taire les questions que tu as sur Dieu. Par ce silence, tes pensées elles-mêmes fourniront les réponses que tu recherches.

En acceptant l’humiliation avec joie, tu mériteras les honneurs et le prestige dans la joie.

Celui qui cherche les honneurs est un insensé.

En confessant tes fautes, les mauvais desseins de tes ennemis seront anéantis.

Prendre conscience que tout ce qui nous arrive est pour notre bien, c’est avoir un avant-goût du Monde Futur.

La pensée constitue l’aspect le plus noble de l’Homme. Elle est plus noble que la vision, l’ouïe, et, en fait, tout. Elle permet de s’élever de plus en plus haut. C’est pourquoi il faut prendre particulièrement soin de l’objet de ses pensées.

La Torah a aussi le pouvoir de libérer l’homme de ses pêchés. Quel que soit le degré de sa faute, même le plus grand des pécheurs serait capable de corriger son passé s’il consacrait simplement un moment chaque jour à l’étude de la Torah, quoi qu’il arrive. La force de la Torah est si grande qu’elle peut tout accomplir.

Une personne qui arrive à défendre sa foi contre la majorité qui argumente contre elle, aura le mérite d’avoir beaucoup d’enfants, sa progéniture remplira le monde.

Lorsqu’une personne se met à parler de quelqu’un d’autre, c’est un « jour de jugement », parce qu’en fait il entame un jugement contre lui. Il faut être très attentif à cela. Examinons-nous bien, et demandons-nous si nous sommes dignes de faire passer notre ami en jugement. Le jugement appartient à Dieu, comme il est écrit: « Ne juge pas ton prochain avant de te trouver dans la même situation que lui » (Pirkey Avot 2:5). Qui sait vraiment où se trouve son prochain et qui peut y arriver, à part Dieu seul ?

La plupart des gens se font une idée erronée de la signification réelle de l’humilité. Il convient par conséquent de ne pas tomber dans le piège de la fausse modestie, et d’implorer Dieu de nous rendre dignes de la véritable humilité, conformément à Sa volonté.

Celui qui peut protester contre les méfaits des mécréants et n’agit pas, se rend coupable de leurs mauvaises actions.

La modestie annule le mal et la tristesse.

Si on est victime d’une controverse, la meilleure chose à faire est de garder le silence et ne pas prêter la moindre attention aux injures que l’on subit.

Nul ne peut « faire bouger de sa place » celui qui est humble et modeste, en ce sens que personne ne peut le déposséder de ses moyens d’existence.

Commence à chaque instant une nouvelle vie.

Le compromis est une forme de jugement qui contient la vertu de la charité.

Celui qui ne parle pas de paroles vaines, réussit dans tout ce qu’il entreprend.

On pardonne toutes les fautes de celui qui a des remords d’avoir commis un péché.

L’Homme doit s’efforcer de rendre ses journées plus longues. Chaque jour, à chaque moment, faisons en sorte que notre temps soit plus long, plus rempli, plus riche, et plus empreint de sainteté. Efforçons-nous constamment de prolonger les jours de notre vie en les imprégnant de plus de pureté et de sainteté. C’est le secret de la longévité. Enrichissons de sainteté supplémentaire toute heure qui passe, faisons de même pour chaque jour de notre vie. Que chaque journée soit plus sainte que la précédente. La longévité sera notre bénédiction. Cet art de vivre ne dépend que de la crainte authentique et permanente de Dieu.

Une mélodie sainte a le pouvoir de conduire au niveau de prophétie.
La musique est la base d’un attachement sincère à Dieu.

La Hitbodedout (s’isoler pour converser avec Dieu) amène la Délivrance.

Plusieurs situations peuvent rendre l’homme hautain, et il convient d’y prêter une attention particulière. L’intelligence, le pouvoir, ou la force, et les biens matériels engendrent chez l’homme un sentiment de supériorité. On doit annihiler toute trace d’orgueil qui résulte de ces données, et tout le pouvoir, toute l’intelligence, et les richesses dont l’homme a été comblé, devraient susciter chez lui un sentiment d’humilité et de modestie .

La foi dépend de ce qui sort de la bouche.

Celui qui a la foi n’a pas peur de l’ennemi.

La connaissance engendre la paix et la guérison. Par conséquent le remède de toute maladie est l’étude intense de la Torah, qui engendre la sagesse et la connaissance de Dieu.

Quand un homme ne cherche ni célébrité ni publicité pour les bonnes actions qu’il a accomplies, cela montre qu’il veut vraiment servir Dieu.

Celui qui respecte le Shabbat ressemble au fils qui intercède auprès de son père et ce dernier lui donne tout ce qu’il désire. Il décrète et le Saint béni soit-il accomplit sa volonté. La récompense dont il jouit maintenant ne constitue que l’usufruit de ses bonnes actions, mais la récompense principale reste intacte pour le Monde Futur.

Ne consomme jamais un fruit avant qu’il ne soit tout à fait mûr sur l’arbre.

Les lettres de la Torah se trouvent partout dans la Création. En exprimant en paroles sa nostalgie et ses aspirations, on dote ces lettres de force destinée au bien. On donne à toute chose une nouvelle vie et on attire la bonté et la bénédiction sur tous les univers.

L’humilité permet à une personne de rester ferme dans une bataille comme s’il résidait dans une forteresse.

La peine et la tristesse engendrent le conflit, alors que la joie amène la paix dans le monde.

Quand tu vois quelque chose sortant de l’ordinaire, ne prétends pas que c’est une coïncidence, mais crois que c’est la Providence Divine qui en est la cause.

Ne te précipite pas pour faire honte à autrui dès que tu entends qu’il dit un mensonge. Fais-lui plutôt quelques allusions par des gestes afin qu’il reconnaisse son erreur.

Dieu aime celui qui a la foi comme un mari chérit sa femme.

Si ta foi est vraiment solide, tu finiras par comprendre ce en quoi tu crois. Plus ta foi est grande, plus ta compréhension sera grande. En fin de compte, tu n’as pas d’autre choix que d’avoir la foi, parce que tu ne peux rien comprendre selon la raison. La foi te permettra de comprendre, à moins qu’il y ait des niveaux plus élevés qui te sont encore cachés et dépassent ta capacité de comprendre rationnellement. Là encore, tu devras accomplir l’effort de croire. Tu dois toujours croire aux niveaux qui te sont cachés, tu finiras par les comprendre aussi. Et le processus se poursuit de la sorte. L’essentiel est que ta foi soit assez forte pour se propager à tous tes membres.Tu accéderas ainsi à la vraie sagesse.

L’orgueil empêche le cœur et les yeux d’un homme de contempler les merveilles de Dieu afin de Le craindre.

Prenons bien soin de ne pas succomber à la mélancolie, à la paresse et à la léthargie. Elles constituent la « morsure du serpent ».

Le but exclusif de la création entière est la révélation de la gloire de Dieu. C’est pourquoi tout a été créé en faveur de l’Homme. C’est essentiellement de lui que dépend la gloire Dieu. Par conséquent, lorsque l’Homme se voit accorder de nouveaux honneurs, il doit absolument éviter de s’en enorgueillir : il doit veiller à en attribuer toute la gloire à Dieu. C’est ainsi qu’il construit et soutient le monde et l’amène vers son Tikoun (réparation). Car l’univers tout entier, avec tout ce qu’il contient, n’a été créé que pour la gloire de Dieu.

Qui est serein et doué d’un esprit lucide, peut se rendre compte combien tout ce monde n’est que futilité et folie. Cela est tout particulièrement vrai pour le prestige, le pouvoir et renommée… En vérité, ils ne procurent ni satisfaction ni plaisir même dans ce monde. Prestige, pouvoir et renommée sont toujours accompagnés de souffrance, d’affronts et de honte.

La charité constitue la réparation générale de l’activité commerciale. À chaque étape franchie dans ses affaires, à chaque pas, chaque parole que l’on prononce, pour toute force que l’on investit, on doit penser que le seul but est de faire la charité avec l’argent que l’on gagne.

On ne peut connaître l’illumination et la sagesse véritables qu’en Terre d’Israel. Mais même les Juifs qui se trouvent dans la Diaspora peuvent les y puiser. Chaque Juif a sa part dans la Terre, et elle est proportionnelle à la sagesse qu’il y puise. Mais ceux qui déshonorent le Tout-Puissant, à Dieu ne plaise, sont coupés de la splendeur de la Terre d’Israel et chutent au niveau de la conscience des « Juifs de la Diaspora « , source de tous les conflits et de toutes les dissensions tellement fréquents.

On ne peut acquérir la Torah que par l’humilité. Il convient de briser son orgueil dans quatre domaines différents: il faut être humble devant ceux qui sont plus grands que soi, devant ceux qui sont à son propre niveau, et devant ceux qui sont d’un niveau inférieur au sien. Et parfois – si on est le plus petit des petits – on doit se considérer d’un niveau inférieur à celui qu’on occupe effectivement.

Il existe plusieurs sortes de crainte. La peur de l’autorité terrestre peut être qualifiée de « déchue ». La vraie crainte du Ciel, qui est liée à la connaissance de Dieu, nous élève au-dessus de l’influence de cette « crainte déchue ».

Celui qui donne une petite pièce de monnaie à la Tsedakah (charité) est gratifié de six bénédictions.
Celui qui console une personne malheureuse en reçoit onze.

Celui qui associe Dieu dans sa souffrance, voit ses moyens de subsistance doubler et « monter » comme le vol d’un oiseau.

Un seul soupir de regret pour tes péchés et la distance qui te sépare de Dieu vaut beaucoup mieux que de nombreux jeunes et tout autre forme de mortification. Les soupirs que tu pousses lorsque tu désires quelque chose de saint, peuvent en fait briser la force de tes instincts corporels. L’âme peut alors se rapprocher du corps et lui communiquer une part de sa propre perception de Dieu.