Celui qui prend une décision à l’encontre de son prochain, qu’elle soit positive ou négative, la prend, en fait, pour lui-même. Ainsi, celui qui dit que telle personne, pour sa bonne action ou sa bonne parole, mérite la bénédiction de Dieu dans tel domaine, ou telle punition, pour sa mauvaise action ou sa mauvaise parole, pourra constater que ce verdict, positif ou négatif, est en fait appliqué à sa propre personne.