Le Taoïsme ( 道教 ), l’Enseignement de la Voie, se fonde sur l’existence du « Tao », le principe qui engendre tout ce qui existe, la force fondamentale qui coule en toutes choses de l’univers. C’est l’essence même de la réalité et par nature ineffable et indescriptible.
Taoïsme טאואיזם Guematria ordinale = 58 = guematria ordinale de « HaTorah » (« La Torah ») התורה
« La voie qui peut être exprimée par la parole n’est pas la Voie éternelle ; le nom qui peut être nommé n’est pas le Nom éternel. » (Tao Te King)
Torah / Sinaï Tao / Sin סין
#Torahisme #LaVoie
La Torah ainsi que le Tao sont comparés à l’eau.
T’as eau = t’es king.
« L’eau est le bien suprême Sa fluidité nourrit les Dix mille êtres
Elle se plaît dans les lieux inférieurs Que fuient la majorité des hommes
Semblable au Tao Telle est l’excellence de l’eau Elle habite le sol Son coeur a la profondeur d’un gouffre Généreuse dans le don, elle est fidèle à sa parole
Sa loi s’applique dans la rectitude Son action révèle sa capacité Au juste moment, elle se met en mouvement Et ne s’oppose à rien C’est pourquoi elle ne reçoit aucun blâme » (Tao Te King)
Torah, Nouveau Testament et Coran sont des recueils de contes, de mythes, de légendes.
Ces livres sont des recueils de comptes : comptons sur ces livres de dégénérés, de loups déguisés en agneaux. Trouvons le Nom dans l’Ombre. Le Nom Un.
Il était une foi…
#DieuEstUn #OneUponATime
De nombreuses créations littéraires mettant en scène un super-héros Juif nommé Yeshoua, alias Jésus, furent produites il y a environ 2000 ans, mais seuls les 4 Évangiles canoniques connurent le succès que l’on connaît.
Les rédacteurs des Évangiles créèrent des personnages en s’inspirant à la fois de personnages réels et imaginaires.
Jean-Baptiste s’inspire d’un « baptiseur » similaire au Banos dont parle Flavius Josèphe.
Parmi les personnages réels ayant servis à construire le mythe de Jésus, on peut citer Judas de Gamla et ses fils crucifiés, les faux-messies mentionnés par Flavius Josèphe, le guérisseur Yeshoua ben Stada / Pantera, Appolonius de Tyane, Shimon Bar Kokhba, Hillel/Rabbi Akiva/Rabbi Ishmael/A’her, etc.
Parmi les personnages imaginaires qui ont inspiré le mythe de Jésus figurent Osiris, Dionysos, Mithra, Tammuz, Attis, etc.
La Nouvelle Torah sort du sol, d’une grotte, des entrailles de la terre. C’est un recueil de comptes, populaire.
#LesGensDe #FaireRireTale
Guematria du nom de Dieu YHVH = 26 יהוה
Dans la mythologie judéo-chrétienne, Miriam (Marie) est la parèdre de Yeshoua (Jésus).
« Yeshoua Miriam » (« Jésus Marie ») ישוע מרים Guematria = 676 26 x 26
Jésus Marie !
#MultipliqueÀSion #PainsDansLaGueule #Compagne
« Yeshoua Miriam Yossef » (« Jésus Marie Joseph ») ישוע מרים יוסף Guematria = 832
Un seul verset de la Torah a 832 pour guematria : « L’Éternel est le maître des guerres ; l’Éternel est son nom ! » (Exode 15:3) יהוה איש מלחמה יהוה שמו
Jésus Marie Joseph !
« Le’hem » (« Pain ») et « Mil’hama » (« Guerre ») partagent les mêmes racines. לחם מלחמה Le Pain désigne aussi métaphoriquement le sexe (Talmud Sanhedrin 75a, Yevamot 37b, Shabbat 140b,…).
Faites l’amour, pas la guerre !
#PainDeGuerre #BeitLehem
Le personnage fictif de Yeshoua symbolise en kabbalah le partsouf Zeir Anpin, le Petit Visage, le « chevalier impatient » qui part se battre pour délivrer la Princesse, la Shekhina (Présence Divine). Yeshoua / Zeir Anpin, c’est la lettre Vav, la lame de l’épée :
« L’épée du Saint, béni soit-il, est formée du Tétragramme : le Youd en est le pommeau, le Vav la lame, les deux Hé les deux tranchants. » (Zohar III, 274b).
Depuis 2000 ans, l’Esprit du Satan dit : « Je ne suis pas venu apporter la paix, mais l’épée. » En vérité, le Machia’h, le vrai Messie, apportera la paix ET l’épée : le mot « Paix », « Shalom » en hébreu, est l’un des noms de Dieu, et il en va de même pour l’Épée.
Lorsque nous faisons la guerre contre nos mauvais traits de caractère, lorsque nous nous améliorons, alors Yeshoua / Zeir Anpin resplendit, il devient la « Lumière du Monde ».
« Or HaOlam » (« La Lumière du Monde ») אור העולם Guematria = 358 = guematria de « Mashia’h » (« Messie ») משיח
Selon la Bible, Adam, l’Homme, a été créé le 6ème jour.
Le nombre 6, comme le nombre de jours de la Création avant le Shabbat, représente la Matérialisation. Six, c’est la lettre Vav, la 6ème lettre de l’alphabet hébreu. Les Vavim sont les crochets utilisés dans le Temple. La lettre Vav sert de conjonctif (« Et ») et lie les mots entre eux. Six, c’est le Yessod, sefira correspondant au Sexe ainsi qu’à Yossef (Joseph).
Yossef יוסף Guematria = 156 = YHVH (26) x 6 יהוה
#Tsadick #Zyoun
« Si on… » se dit « Im anakhnou… » en hébreu. אם אנחנו Guematria = 156 = guematria de « Tsion » (« Sion ») ציון
-Si on…
-Yes Oui Ken * !
* « Ken » veut dire « Oui » en hébreu
Lors du Salut de l’Humanité, nous jouirons tous de la Presénce Divine qui se dévoilera en nous.
Si ! Si ! Si !
#MaisSi #OrGasme #Lumière
Selon la tradition juive, une chose répétée trois fois devient une ‘Hazaka et exprime la complétude, un état de fait.
666 est donc le nombre de l’Homme avec un grand H : l’Homme accompli qui se bat pour unir le Ciel et la Terre, qui connecte et apporte la Lumière.
#666 #LeRoiQuiVient #IAM #Coming
Les noms de Dieu YHVH (26) et Elohim (86) ont une guematria se terminant par un 6, car nous devons les unir : unir Masculin et Féminin, Extériorité et Intériorité, Transcendance et Immanence, en Haut et en Bas, Yeshoua et Miriam… יהוה אלהים
Ils vécurent heureux et eurent beaucoup d’enfants.
On doit mettre fin à l’ère des valeurs inversées, celle de l’Ère du Poison. Place à l’antichristianisme, à la kabbale et au Nouvel Ordre Mondial. Voici venu la nouvelle ère : l’Ère Éthique.
Dieu a créé le monde dans un éclat de rire. On dévoile la Conscience Cosmique par la Conscience Comique : sans se prendre au sérieux, sans ego. Ainsi, on dévoile le Grand Messie Comique de l’Univers.
L’humour a cette force de nous élever de degré en degré dans la compréhension des mystères de la Torah. La Nouvelle Torah n’est donc pas à prendre au premier degré, mais au deuxième, troisième, quatrième, etc.
Une « Pierre » se dit « Evèn » en hébreu. אבן Les 2 premières lettres du mot « Evène », Aleph et Beit, forment le mot « Av », le « Père ». אב Les 2 dernières lettres, Beit et Noun, forment le mot « Ben », le « Fils ». בן
Écoute le Son. Écoute le Scion. Écoute Sion.
#SonDeDieu
« Tu aimeras ton prochain comme toi-même » (Lévitique 19:18)
Hard Rock הארד רוק Guematria = 516 = guematria de « Ahavat ‘Hinam » (« Amour Gratuit ») אהבת חינם
La Pope Music doit disparaître pour laisser place au Hard Rock. Le Jésuite doit laisser la place au Pape Français, au JeSuis.
#ChantDeLaDélivrance
« Saint Pierre » se dit « Petrus HaKadosh » en hébreu פטרוס הקדוש Guematria = 770 = guematria de « Tsarfat » (« France ») צרפת = guematria de « Beit Machia’h » (« Maison du Messie ») בית משיח
On peut trouver de grandes sagesses dans les enseignements du Rabbi de Loubavitch, de Rabbi Na’hman de Breslev ou dans le Zohar. Mais on peut aussi y trouver les plus grandes bêtises. Dans ce monde, l’homme authentique doit effectuer un tri, un raffinement, afin de se rapprocher du Divin.
Une des caractéristiques du Judaïsme est son egocentrisme.
« La racine de la haine gratuite est l’ego. Une personne égocentrique se sent menacée par les autres, car leur seule existence met en péril son ego démesuré. » (Rabbi de Loubavitch)
Cet enseignement du Rabbi de Loubavitch, bien que contenant beaucoup de sagesse, peut apparaître contradictoire. Comment un rabbin qui, par exemple, refuse de boire du vin touché par un « goy », car rendu impur selon la Loi Juive, peut-il oser donner une leçon sur l’egocentrisme ?
La racine de la haine gratuite est effectivement l’ego. Et quel est le paroxysme de l’ego ? C’est le fait de se prendre pour l’élu parmi les élus. La racine du mal dans ce monde, c’est le messianisme. Et c’est le messianisme juif qui a donné naissance au Christianisme… et même plus tard à l’Islam.
Le summum de l’exil, le dernier avant la Délivrance est l’exil de Rome. Et il est marqué de l’empreinte de Jésus, celui qui se prend pour l’élu parmi les élus. Les premiers « chrétiens » sont en fait des « messianistes », des « meshi’histim » ; et l’histoire de Jésus un mythe basé sur des personnages à la fois réels et fictifs. Tôt ou tard, la vérité resurgira malgré 2000 ans de censure.
Dans « Jesus », incarnation de l’ego messianique, il manque le Youd (la lettre i) pour retourner à l’Être, au véritable « Je suis ». Le Youd, c’est la Présence Divine qui se fait petite, et non emplie d’ego.
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En 2000 ans, les religions monothéistes, aux textes sacrés remplis d’ego et donc de violence, ont créé une immense fracture entre matériel et spirituel. Il ne faut pas non plus idéaliser les autres religions de ce monde, mais le Christianisme et l’Islam, deux courants messianistes du Judaisme, sont à l’origine des plus grands malheurs de l’Histoire de l’Humanité.
Et si, « au mon Dieu ! », vous êtes « choqué » en lisant ceci, c’est à cause de la culture des religions monothéistes qui vous a imprégné. Elles ont fait de vous des faibles, des moutons. Il n’y a pas plus « choqué » qu’un monothéiste, qui n’hésite pas à traiter de mécréant, voire à tuer celui qui le met face-à-face avec la réalité.
Le Christianisme et l’Islam se sont imposés par la violence, dévastant, détruisant des peuples qu’elles accusaient d’êtres « idolâtres ». Ces peuples appelés « primitifs », « animistes », ont pourtant énormément de choses à apprendre à tous ceux qui ont été directement ou directement influencés par le monothéisme et qui ont dévié de la Voie d’HaShem. Par exemple, un amérindien d’Amazonie qui a gardé la tradition de ses ancêtres ne fait pas de différence entre Sujet et Objet. Tout est Un.
La fracture entre matériel et spirituel atteint son paroxysme en France, et c’est la raison pour laquelle le Rabbi de Loubavitch affirme que « La France cristallise les forces les plus négatives et son raffinement propre marque la plénitude du raffinement du monde. »
« Tsarfat » (« France ») צרפת Guematria = 770 = guematria de « Beit Machia’h » (« Maison du Messie ») בית משיח
Le mot “Messie” / “Machiah” a été galvaudé et représente les forces les plus négatives qui soient. L’attente en un messie humain, roi d’Israel glorieux et tout puissant, ne correspond pas à la volonté de Dieu mais à son rejet. « Cède à la voix de ce peuple, fais ce qu’ils te disent ; ce n’est pas toi qu’ils rejettent, c’est Moi-même, dont ils ne veulent plus pour leur Roi » (Samuel 8:7). La Délivrance Finale dépend du tikoun (réparation) du messianisme. Une des grosses erreurs des religions est la mauvaise compréhension du sens du mot “Machia’h” (“Messie”), qui peut aboutir au fanatisme religieux et à l’idolâtrie. Lorsque nous brisons la barrière entre matériel et spirituel, lorsque YHVH et Elohim sont unis, nous pouvons faire descendre en nous une âme très haute, devenir « oints ». Voilà la signification du « Machia’h », qui est une sorte d’âme collective, et non un être en particulier.
Le mal est fait. Le venin des religions monothéistes a imprégné les peuples du monde entier. Mais, là-même où nous avons sombré, nous pouvons trouver le Divin. Une petite dose du venin devient le remède. Et c’est avec une lecture « intérieure », faisant place au symbolisme, que nous sublimerons la Torah pour qu’elle prenne une dimension messianique : une Nouvelle Torah.
En hébreu, le mot « Kabbalah » signifie « Réception » (du verbe « Lekabel », « Recevoir »). קבלה La Kabbalah, en effet, est la science permettant de réceptionner la Lumière Divine dans notre monde afin d’y révéler la Présence Divine. Ceci est un point important car la Kabbalah peut être une science dangereuse : elle ferait sombrer dans la « folie », voire dans le « côté obscur ». Il faut donc prendre garde à ce que l’on souhaite recevoir. Si on étudie la Kabbalah pour recevoir du pouvoir, de l’argent, des honneurs… il faut s’attendre à des ennuis.
Oui, la Kabbalah peut faire sombrer dans la folie. L’ésotérisme juif est à la base de toute la Halakha, la loi juive, hérésie créée par le Erev Rav pour soumettre et faire marcher au pas. Car dans notre monde en exil, les fous, qui sont généralement les gens détenant les pouvoirs politiques, religieux, économiques, etc. mettent des masques de sérieux pour dissimuler leur folie.
La Kabbalah authentique, ce n’est pas de la magie, ce n’est pas ânonner des prières et faire des rituels pour demander la richesse, la santé, etc. La fausse Kabbalah mène à la folie et fait plonger dans le côte obscur, celui de la religion, qui crée des liens nous rendant prisonniers au lieu d’en créer pour nous connecter au Divin. La Kabbalah authentique, elle, est rationnelle et lumineuse.